État : Livre en bon état

4ème de couverture :
    Enfant trouvée, danseuse et écuyère, Fannie retrouve, après de multiples aventures, le même jour, son père M. de Saint-Véran, et son fiancé Klébert de Montrieux. Son dix-septième printemps lui apparaît radieux.
    Mais, dès le lendemain, Klébert disparaît volontairement, car il ne s'estime plus digne d'un si grand amour. Fannie ne renonce pas si facilement. La voici de nouveau galopant sur les routes, seule avec son perroquet et, son négrillon. Le hasard la conduira à faire sa première étape dans un assez singulier collège de Jésuite le jour même où l'on y célèbre la Saint-Valentin, fête des amoureux !
    Des amoureux... Il jaillissent sous les sourires de Fannie, comme les étincelles sout les sabots de Moka ! Chez les Jésuites déjà, c'est le jeune Folco de Novelli. A Binche, au cours du fameux Carnaval qui se terminera par un assassinat et un rapt d'enfant, ce sera le capitaine Baragan, spadassin à la moustache conquérante. A Bruges, ville faite pour l'aventure, Fannie retrouvera Paganini armé de son violon et de ses sortilèges. En Hollande, elle sera pressée entre le richissime Jacob Van Coppélius et Guillaume d'Orange, héritier du trône. De Vienne, enfin, lui parviennent un bouquet de violettes et un médaillon envoyés par son danseur d'une nuit, le duc de Reichstadt. Fannie est coquette et sensuelle, Klébert ombrageux et insaisissable. Leur amour résistera-t-il à tant d'amours ?
    Il n'y a pas d'amour sans guerre. En 1829, à la veille de la Révolution européenne, le combat pour être clandestin n'en est pas moins violent. C'est entre les séquestrations, les procès, les assassinats, les complots, et même les coups de bourse - que Fannie se laisse prendre des baisers, qu'elle écoute des serments. Le feu qui brûle son coeur s'étend à tous ses compagnons : Saint-Véran, Bécoeur, Vidocq, Calixte, Alexandre Dumas... Comme leurs visages sont beaux aux premières lueurs de l'incendie !


   

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